la responsabilité du décrochage scolaire est souvent attribuée à des problèmes
de déficience parentale. Parfois également elle se naturalise dans un vision du
jeune paresseux. "Ces deux visions dédouanent le milieu scolaire de toute influence dans la construction de ce
décrochage", écrit Catherine Blaya, professeur à l'Université de Bourgogne et
co-fondatrice de l'Observatoire européen de la violence scolaire.
Dans son livre elle démontre que dans ce phénomène
hyper complexe il faut tenir compte aussi bien des facteurs exogènes que
endogènes.
