jugés trop incitatifs, les blogs « pro-ana » (pro-anorexie) et « pro-mia » (pro-boulimie) sont essentiellement perçus comme des machines à tuer. Une loi devait même les interdire. Mais elle s’est perdue entre l’Assemblée et le Sénat et des milliers de jeunes filles (dans neuf cas sur dix, la victime est féminine) continuent à échanger conseils et témoignages sur leur mal-être.
A-t-on tort de s’alarmer ? C’est ce que pensent aujourd’hui les sociologues qui étudient le fonctionnement des réseaux qui se tissent autour des troubles du comportement alimentaire . Explication en quatre temps sur le site du Nouvel Observateur Rue 89