"on peut comprendre l’inquiétude qui se manifeste là et même partager
vigoureusement la conviction que l’École doit résister au capitalisme
pulsionnel, à l’immédiateté compulsive, à la régression dans l’infantile et au
syndrome de la toute-puissance. Mais il me semble qu’on ne doit pas, pour
autant, traiter le phénomène de l’ennui à l’école par l’ignorance ou le mépris…
Nous avons besoin d’une réflexion approfondie sur cette question qui permette,
sans céder aux sirènes de la démagogie, de mobiliser les élèves fortement sur
les savoirs qui leur sont proposés."