invitée le 5 février au matin par l'Assemblée nationale, le soir par
l'OZP, l'inspectrice générale Anne Armand a défendu son rapport sur la prévention du décrochage. Si pour elle, la lutte contre le décrochage passe par
des changements dans les pratiques pédagogiques, elle semble en même temps
relativiser l'impact des instructions officielles. C'est que la question du
décrochage est maintenant prise dans deux machines puissantes. Celle de la
modernisation de l'action publique (MAP) à laquelle participent les auteurs du
rapport. Et les régions à qui la loi sur la formation professionnelle va confier
le raccrochage.