dans les années 1970, la féminisation des professions de la PJJ et
l’intégration de la mixité dans les groupes de jeunes pris en charge
marquaient une évolution importante dans la conception des rapports
hommes/femmes, garçons/filles du secteur, ainsi qu’une rupture avec les
rôles qui autrefois leur étaient assignés.
Aujourd’hui, la prise en charge des filles en conflit avec la loi,
notamment dans les établissements pénitentiaires pour mineurs ;
l’éducation à la vie affective et sexuelle ; le problème de la parité,
montrent que des questions subsistent. Comment ces relations sont-elles
travaillées au sein des équipes et des groupes de jeunes ? La mixité
quasi-généralisée des institutions a-t-elle effacé un traitement
différencié des garçons et des filles ? Comment les professionnels se
saisissent-ils de ces questions et adaptent-ils leurs pratiques ?
à lire dans le N° 58 - de la revue trimestrielle Les Cahiers dynamiques
