comment et pourquoi le décrochage scolaire s’est-il imposé dans le champ
des politiques éducatives ? Quels effets cette nouvelle manière de
qualifier un public, des jeunes en rupture de scolarité et sans
qualifications, a-t-elle sur les élèves eux-mêmes ? Plus qu’un problème
de définition c’est bien la question de la construction d’un problème
public que pose Pierre-Yves Bernard dans cet article paru dans les Cahiers dynamiques n°63